Peu de chose a dire et pourtant j'ai envie de causer... De tout de rien. C'est fou, je sais bien qu'on me lit... Qu'on m'observe, qu'on m'osculte, me psychanalise sans doute aussi. Mais, meme si ca m'enerve, dans le fond ca me flatte un peu... Ca veut dire que pour ces personnes qui pourtant ne veulent plus me parler ou avoir de réel contact avec moi, j'ai laisser une impression suffisante pour qu'ils/elles/eux (biffer la mention inutile) un certain souvenir, une envie de savoir ou en est mon existence...

Alors comme pour y a quelque post c'est a vous que je m'adresse vous qui etes bien callé dans votre fauteille, avec sans doute une boisson a portée de la main, une ambiance feutrée que seul un vrai foyer peut apporter...Cette fois je vais pas vous geuler dessus. Non, ca c'est l'ennervement, ces mes coups de sang les responsables comme souvent d'ailleurs. Une fois la passion passée la raison prend la releve... Et la ma raison elle flanche. Je sais plus ou j'en suis. Ok vous etes contant? Vous l'avez l'aveu du coupable... Maintenant circulez, et merci de fermer la porte en sortant...

Je ne comprendrai jamais pourquoi y a des gens comme moi, completement paumé au point de ne plus savoir ou se tourner... Mon histoire je la connais... Mais eux, pourquoi en arrivent-ils la? Une tel dose de malchance, ca ne peut arriver qu'a une personne non? Donc c que leurs malheurs ils en sont responsables... Et bien non, en fait y a encore plus malchanceux que moi... J'ai des amis, de bon amis, fideles au moins. Je vis dans un confort materiel apréciable... Ok j'ai pas de boulot, la belle affaire. Ca peut changer a tout moment ca. Mais il me manque l'essentiel. Un but. Une raison de continuer a me lever tout les jours. Une raison de sourir.

Parrait que la vie est belle. Je dois pas l'avoir vu du bon coté de la barriere. Ou alors elle est belle pour une poignée de gens... Voir une majorité... Mais j'en suis exclu. Pourquoi? Bah j'en sais foutre rien et meme pire je commence a m'en ficher du pourquoi. J'existe encore, c tout ce qu'il y a a dire.

It's time to close the book, go to bed, and sleep a dreamless sleep.