Friday, March 21, 2003
Des Femmes Et Des BourreauxUne ombre, un oiseau, une couleuvre.
Un reve imaginé en blanc, des parfums rendu flous
Lourd, ces instants dérisoires
D'un regard elle changerait l'histoire
Dans une course, exaltante
Dans une cage, en attente
Futiles ou malicieuses, elles animent des lubies
Qu'absorbent leurs buvards, au rhytme ou l'encre y brille
Tombe le voile, ternissent les teints, de l'amour cruel, de l'amour cruel
Des colombes elegantes, aux ailes accérées
Comme des poignards ou l'amour s'est blessé
Le sang coule, la fete est terminée
La serrure a laché, l'oiseau s'est envolé
Dans une course exaltante
Loin d'une cage, en attente
Idylle eblouissante ma tendre amie d'entant
Tu m'aura blesser en si si peu de temps
Tombe le voile, ternissent les teints, de l'amour cruel, de l'amour cruel
De l'amour cruel de l'amour cruel.