killing me soflty

Y a plein de choses en ce moment qui me foutent le bourdon, qui me sappent le moral, qui m'entrainnent par le fond. Ou? plein. Mais j'essaye de lutter contre le courrant. Mais y en a deux plus particulierement qui me portent sur le systeme, c'est de ces deux choses dont je vais discourir dans ce post.

Le premier c'est ce foutu demenagement qui ne peut avancer car y a des retards tout azimut dans les travaux. Je sais que l'on fait tous tout ce qu'on peut pour accelerer la cadence. Mais quand on ne livre pas le materiel necessaires aux travaux, il est evident que ca traine... C'est la faute de personne sur ce projet, a pas de chance peut etre... Mais bon... je sens l'aleine (pas fetide mais chaude) du proprio qui aimerait que je vide les lieu le plus vite possible... Ben d?sol? mon gars mais je peux pas faire plus vite... J'aimerais que ca aille plus vite moi de mon cot? je suis bien dans les temps... Avant hier on a demonter le salon a l'exception du coin ordi et de la tele... Et on a remonter le tout de l'autre cot?. Donc non, a ceux qui pense que je faignasse et que c ma faute que ca avance pas, je dis non.

La deuxieme chose est d'ordre beaucoup plus personnelle et a mes yeux plus important encore. Et vient surement de ma propention naturelle a la paranoia aigue... J'en ai parler y pas si lontemps avec Keupon. Ou? l'ami, y s'agit bien des relations (ou plutot l'asbence de relation) avec la louve. Ho je connais tout les griefs qu'elle peut avoir a mon encontre, je vais pas faire semblant de pas les connaitre. Mais de la a ne plus se parler qu'en monosylabes, qu'elle apparament evite soigneusement de meme repondre a des bonjours sur ma forge, a la longue ca fait tres mal, surtout venant d'elle. En fait je croyais que ca ferait pareil de la part de n'importe quel des forgiens, mais non, la c'est 'sp?cial'. Puis cette interdiction de l'appel?e d'un sobriquet que j'utilisais depuis bientot 2 ans sans jamais y voir autre chose qu'un signe d'une amiti? sans reserve ni autre ambiguit?...

C'est drole... enfin non c'est pas drole en soit, mais cette situation me fait penser a une vielle chanson des ann?es 80 que je n'aimais vraiment pas a l'epoque. La chanson c'est Elsa et glen Meideros - Roman d'amiti? (je ne suis plus sur du titre, par contre). Je l'ai r?entendue hier sur ma playlist et j'ai trouver les mots de cette chanson... ironique... Ca ne sera jamais nous. Et pourtant... Cette amiti? que je croyais solide comme le rock, je la sens partir en lambeau et je n'arrive a rien faire pour contrer ca... Et pour la premiere fois depuis des ann?es, je ne sais meme plus si je dois m'y accrocher... Comprenez moi bien. Pour moi l'amiti? est quelque chose de sacr?. Je ferais tout pour en conserver une, peut etre pasque j'en ai pas eu beaucoup de vrai dans ma vie, ou que la plus part on mal tourn? au final, malgr? des efforts ennormes de ma part. Je vis constamment dans la peur panique de me retrouver seul, sans mes si precieuses amiti?s. Oui c'est une vision assez egoiste de tout cela, mais ce sont non pas ces personnes qui me maintiennent debout, mais les sentiments. Sans ceux ci, je m'effondre comme un chateau de carte au moindre pet de travers... Et voir cette amiti? qui est sans doute la plus precieuse a mes yeux se casser la figure... Ca me fait un mal de chien. En fait... ca va faire melo dramatique ce que je vais dire, mais la a l'instant j'ai des larmes plein le visage...

Et la louve, je sais que tu va lire ces lignes a un moment ou a un autre. Je veux pas que tu considere ceci comme un autre appel a l'aide. Ca ne l'est pas... Je veux simplement savoir ou on en est exactement. Si ca vaut encore la peine que j'essaye de rabibocher ce qui pourrait ne plus etre possible. Je veux le faire, ca ne fait pas l'ombre d'un doute, d'une hesitation... Mais je ne sais plus ni comment, ni si toi tu en a envie...