Saturday, May 17, 2003
Je voudrais des sandales pour allez avec ma jupe verteAujourd'hui c'est la corvée. Que dis-je, THE CORVEE, l'horreur ultime, la fin du monde, le cataclysme, j'ai nommé, faire des courses pour acheter des godasses. Oué... J'ai horreur de ca, tout comme tout achat de cliquottes (vetements)... Va bien falloir si coller pourtant si je veux etre un peu presentable et confortable a Barcelone... :p
Fo souffrir pour etre bo... Et bien moi je vais dérouiller comme c pas permis pasque je pars de loin... Genre de tres tres loin meme... Enfin bref, c juste pour dire quoi...
Souhaitez moi bonne chance, je vais en avoir besoin...
Thursday, May 15, 2003
C'est un pays, fallait qu'j't'en parle
Car j'l'ai dans l'coeur comme tu crois pas
Quand j'suis pas d'dans c'est pas normal
A croire que l'monde n'existe pas.
C'est pas fait pour les cons qui râlent
Après la pluie ou j'sais pas quoi
Moi j'l'aime mieux sous un ciel qui chiale
Balayé par un vent d'noroît.
Là-bas c'est la mer qui donne
Et qui reprend quand ça lui plaît
Et ce putain d'glas qui résonne
Quand elle a r'pris tout l'monde le sait.
Là-bas si c'est pas pour ta pomme
On te le f'ra savoir vit'fait
Ils en ont vu passer des tonnes
De colons et voire même d'Anglais.
Et puis parfois toute la violence
Qui fait lever l'poing sur la place
qui rappelle qu'il y a méfiance
Après la langue on vise la race.
Qu'elle s'est pas trop gênée la France
Pour lui mettre les pieds dans la crasse
Des fois qu'l'idée d'indépendance
Ne laiss'rait pas vraiment de glace.
Car ça n'aime pas les conquérants
A la cupidité vénale
D'puis qu'une Duchesse encore enfant
S'est fait mettr' d'une manière royale.
Sa liberté c'est l'océan
Qui la nuit va r'joindre les étoiles
Et sa terre qui a fait serment
D'être à jamais terre nationale.
C'est aux cris des oiseaux de mer
Quand il reviennent près du rivage
Que j'ai compris qu'il y a l'enfer
Mais qu'ça vaut toujours mieux qu'une cage.
Et même quand chaque jour est une guerre
Qui n'se lit que sur les visages
Ici on n'parle pas d'sa misère
Et encore moins de son courage.
Si j'en rajoute un peu, tant pis
Au début j't'ai bien dit que j'l'aime
Dans tout c'merdier c'putain d'pays
M'tient plus chaud qu'la gonzesse que j'traîne.
J'ai pas fini d'l'ouvrir pour lui
Pour lui j'fil'rais même des chataîgnes
Au premier salaud qui l'détruit
Ou qui voudrait lui r'mettre des chaînes.Soldat Louis - C'est Un Pays
Tuesday, May 13, 2003
Lui, c'est un fou
Toujours à rôder comme un loup
Il aime les nuits blanches, les nuits noires
Ses jeux sont étranges, son regard
A la couleur de la nuit
La couleur de la nuit
Elle, un voyou
Quelque fois se déguise, met un loup
Elle a son langage, ses bijoux
Ses jeux, son nuage, tout comme vous
Passagers de la nuit
Passagers de la nuit
Quand se couche le soleil
Les zombies se réveillent
Au fond du tunnel
Ils se sont reconnus à l'aurore
La lumière du jour sur leurs corps
Deux ombres chinoises se dessinent
Quand le matin les croise, s'éliminent
Quand l'ombre s'allonge,
Touche leur voile
C'est la fin du songe, les étoiles
Ils rentrent dans la nuit
Apparaissent dans la nuit
Disparaissent dans la nuit
Passagers de la nuit
Quand se couche le soleil
Les zombies se réveillent
Au fond du tunnel
La lune les appelle
Aux portes d'la citadelle
Pour la fête éternelle
La tribu est fidèle
Quand se lève le soleil
Ils regardent le ciel
Rentrent dans le tunnel
La tribu a sommeil
Pour eux c'est la nuit
C'est la nuitPierre Rapsat - Les passagers de la nuit
Sunday, May 11, 2003
Oui donc voila, Skynet ayant couper ses ports pour pouvoir updaté les users sites a partir de blogger par exemple, il a bien fallu changer, donc nous revoila ici. Je suis désolé de changer sans cesse d'url, mais faut ce qui faut....
Il vivote dans les rues, les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son bonhomme de chien
Et oh pas de carrière pour l'avenir car hier n'est plus à venir
Il vit le moment présent après l'hiver vient le printemps
Il gagne un peu d'argent, oh pas beaucoup évidemment
Juste assez pour ne pas mourir, le temps d'avoir des souvenirs
Il croit pas trop en Dieu et puis même si il y croyait
C'est déjà dur seul à seul alors pensez seul à deux
Il vivote dans les rues, les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son bonhomme de chien
Il vivote dans les rues, les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son bonhomme de chien
On lit sur son visage oh la jeunesse qui se ride
Au-dessus de ses yeux, ses cheveux se débrident
Il a l'âge des grands nuages qui ne tiennent pas en cage
Allant parcourant d'air vents de large vent arrière
Mais à grands coups d'éclair l'orage blesse le nuage
La pluie saigne très claire les larmes de son grand âge
Il est libre à son compte prenant les jours comme acompte
Se nourrissant de pommes, oh le joli freedom.
Il vivote dans les rues, les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son bonhomme de chien
Il vivote dans les rues, les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son bonhomme de chien
Oh c'est en été que j'ai lu dans une rubrique aux faits divers
Qu'un vieillard mourut, d'un coup de foudre révolu
Il est léger comme l'air il n'a plus soif à sa faim
Ma chanson n'a plus d'espoir, il n'y a pas de mots sans fin
Notre chanson n'a plus d'espoir, il n'y a pas de mots sans fin
Notre chanson n'a plus d'espoir, il n'y a pas de mots sans fin
Il vivote dans les rues, les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son fantôme de chemin.La Rue Ketanou - Bonhomme De Chien